Pauvre de nous.
Rhalala. Je ne m'y ferai jamais !Quand on entame des études de médecine, on devrait nous faire lire un texte récapitulant toutes les opinions fausses que les "civils" se font sur nous et comment y faire face. Le premier de ces préjugés serait "Tu es étudiant médecin donc dés la première année de ton cursus tu es médecin..." ou comment éviter le "tiens, j'ai un truc bizare là, d'après toi, c'est quoi ?". Je ne comprend pas pourquoi les gens sont persuadés qu'un étudiant en médecine connaît tous les diagnostics différentiels (l'ensemble des symptômes) de toutes les pathologies (et ce, dans toutes les spécialités bien entendu !) dés sa première année (accomplie ou, pire, non). Bien sur, les années aidants, cela devient un (tout petit) peu plus vrai, mais quand bien même le mal est identifié, reste son remede, bien souvent inaccessible (du moins, tout aussi inaccessible pour nous que pour le non-médecin).
Enfin, certaines choses sont immuables, je suppose que cela en fait partie !
Sinon, j'ai donc terminé ma dissection aujourd'hui, dans les temps et sans souci majeur (j'ai même eu le loisir d'aider une camarade et de pratiquer la dissectrion-express, 5 minutes pour un doigt). Je vais pourvoir (enfin) me reposer (demain matin) et attaquer mon pré-blocus (le reste de ce week-end).